Une femme est sortie de chez elle il y a 70 ans et n’est jamais revenue. Ce que sa famille a trouvé dans la maison les a rendus millionnaires

Une logeuse parisienne a un jour quitté sa maison avec une seule valise dans les mains. L’appartement fermé à clé n’avait pas été visité depuis 1939.

C’était la Seconde Guere mondiale. Lorsque les troupes nazies ont envahi Paris en 1939, certains habitants de la ville ont fui leurs maisons, craignant pour leur vie. Ils ont dû laisser leur logement et leurs biens pour secourir leur vie.

La femme a pu quitter Paris. Son but était de s’éloigner le plus possible des lignes de front. Lorsque les combats en Europe ont pris fin et que les gens ont commencé à rentrer chez eux, pour une raison quelconque, Mademoiselle de Florian a décidé de rester dans un autre pays.

La raison de cette décision reste aujourd’hui un mystère, même pour ses plus proches parents. Dans ses conversations avec eux et ses amis, l’ancienne Parisienne n’a jamais mentionné qu’elle pourrait avoir un endroit où vivre dans la capitale française.

Mais Florian n’a pas effacé son ancienne maison de sa mémoire, même si cela semble être le cas. Pendant toutes ces années, elle avait payé toutes les factures et était la propriétaire légitime de l’appartement.

Les proches n’ont découvert l’appartement parisien de la dame qu’après sa m ort. L’avocat qui a lu le testament du de  funt leur en a parlé. Il a remis aux héritiers un trousseau de clés anciennes et leur a donné l’adresse exacte de l’appartement.

En se tenant devant la porte de l’appartement de Florian, les proches ressentent une grande excitation. Ils ont eu la sensation de se trouver devant une machine à remonter le temps, d’en franchir le seuil et de voyager 70 ans en arrière.

A l’intérieur, ils ont pu constater que l’intérieur était délabré mais toujours luxueux. Les fenêtres étaient encadrées de lourds rideaux en tissu coûteux, les plafonds étaient décorés de stucs.

Les chambres étaient meublées de somptueux meubles anciens et de nombreux tableaux, vases, horloges et statuettes.

Il semble qu’avant la guere, la maîtresse de maison vivait très bien.

Ses proches ont réussi à vendre l’appartement et son mobilier, générant une importante somme d’argent. Elle a ainsi pu assurer un riche héritage à ses proches en ne retournant pas dans son pays d’origine à l’époque.

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